Stratégie pour un secteur culturel durable du Commissariat général au développement durable
Une ressource du Commissariat général au développement durable du gouvernement français
Du brief, à la conception des décors, en passant par la post-production, la création d’images, comme toute activité, induit des impacts environnementaux et sociaux. Le secteur de la mode et du luxe dépend des images. Alors comment rendre cette activité plus responsable ?
À l’échelle d’une année, pas moins de 50 000 shootings seraient organisés pour la seule ville de Paris. Face à ce constat, il nous est apparu important de quantifier l’impact de ces productions; de même que de réfléchir à des bonnes pratiques communes concernant tous les métiers et acteurs impliqués, tant sur l’aspect durable que social.
Mesurer l’impact de la filière
Nous avons initié une collecte de données relatives à différentes typologies de production (e-commerce, contenus réseaux sociaux, campagne film et print…) à Paris et à l’étranger. À l’aide d’outils de calcul d’impacts carbone, nous avons pu obtenir une image globale des impacts des productions.
Ainsi, selon nos calculs, l’empreinte d’une production réalisée en France représenterait 1,6 t de CO2 eq., contre 33 t CO2 eq. pour des productions réalisées à l’étranger. Du fait des émissions associées au transport des équipes, une production à l’étranger est, de ce fait, 20,5 fois plus impactante qu’une production réalisée localement.
Informer pour mieux sensibiliser
A l’issue d’une série d’interviews menée auprès des différents acteurs de la production d’images (client, direction de création, direction de production, équipe technique…) nous avons construit et rédigé un guide de sensibilisation et de bonnes pratiques, élaboré en vue d’aider tous les acteurs impliqués dans cette chaîne de valeur à intégrer les principes du développement durable dans leur quotidien.
Consultez le guide ICI
Le Site Web de Paris Good Fashion ICI
Du brief, à la conception des décors, en passant par la post-production, la création d’images, comme toute activité, induit des impacts environnementaux et sociaux. Le secteur de la mode et du luxe dépend des images. Alors comment rendre cette activité plus responsable ?
À l’échelle d’une année, pas moins de 50 000 shootings seraient organisés pour la seule ville de Paris. Face à ce constat, il nous est apparu important de quantifier l’impact de ces productions; de même que de réfléchir à des bonnes pratiques communes concernant tous les métiers et acteurs impliqués, tant sur l’aspect durable que social.
Mesurer l’impact de la filière
Nous avons initié une collecte de données relatives à différentes typologies de production (e-commerce, contenus réseaux sociaux, campagne film et print…) à Paris et à l’étranger. À l’aide d’outils de calcul d’impacts carbone, nous avons pu obtenir une image globale des impacts des productions.
Ainsi, selon nos calculs, l’empreinte d’une production réalisée en France représenterait 1,6 t de CO2 eq., contre 33 t CO2 eq. pour des productions réalisées à l’étranger. Du fait des émissions associées au transport des équipes, une production à l’étranger est, de ce fait, 20,5 fois plus impactante qu’une production réalisée localement.
Informer pour mieux sensibiliser
A l’issue d’une série d’interviews menée auprès des différents acteurs de la production d’images (client, direction de création, direction de production, équipe technique…) nous avons construit et rédigé un guide de sensibilisation et de bonnes pratiques, élaboré en vue d’aider tous les acteurs impliqués dans cette chaîne de valeur à intégrer les principes du développement durable dans leur quotidien.
Consultez le guide ICI
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Une ressource du Commissariat général au développement durable du gouvernement français
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