Frontiers in Retreat

Des approches multidisciplinaires de l’écologie dans l’art contemporain

Frontiers in Retreat est une plate-forme de résidence de recherche qui favorise un dialogue pluridisciplinaire sur les questions écologiques au sein d’un nouveau réseau européen impliquant des résidences d’artistes, l’art et les organisations de l’éducation, des artistes, des experts de diverses disciplines ainsi que des publics variés. L’objectif du projet est d’élargir la compréhension des changements écologiques mondiaux et leurs impacts locaux sur les milieux naturels européens par le biais de pratiques artistiques contemporaines et grâce à une approche multidisciplinaire.

23 artistes ont été invités à travers l’Europe pour des résidences de recherche dans les centres de résidence gérés par les partenaires du projet. Leurs sites reconnus comme les frontières, sont abordés comme des résonances des processus géopolitiques et socio-économiques enlacés. Au cours du projet, les artistes se déplacent dans le réseau de la résidence, la recherche des contextes écologiques particulières dex sites, de lancer l’échange de connaissances entre les diverses disciplines dans les ateliers de l’incubateur, et développer de nouvelles œuvres d’art.

Repenser l’art et l’écologie

Les activités de résidence de Frontiers in Retreat commencent au printemps 2014. Les processus et les activités de recherche sont documentées et communiquées sur le site officiel reliant les sites avec l’autre ainsi qu’avec différents publics. Le site contient également des informations sur les artistes et les organisations partenaires : www.frontiersinretreat.org

Frontiers in Retreat est organisé par HIAP (Programme d’Artiste International d’Helsinki) en partenariat avec les organisations d’art Mustarinda, Finlande ; Atelier de Sculpture écossais – SSW, Écosse ; Interdisciplinaire Art Group SERDE, Lettonie ; Avant culturel – GRAD, la Serbie ; Centre d’Art I Natura de Farrera, Espagne ; Skaftfell – Centre des arts visuels, de l’Islande ; et Jutempus, Lituanie. Le projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne et est également soutenu par le Ministère de l’éducation, par la Fondation Kone et la Fondation Alfred Kordelin.