
Jouer à 50° ? Étude sur l’adaptation – Odéon Théâtre de l’Europe
Et si Paris atteignait les 50°C ? Le Théâtre de l’Odéon anticipe cette éventualité en publiant une étude inédite sur…
Crédit image : Pelouse calaminaire, Auby (Nord) © Guillaume Lemoine
La Société Française d’Ecologie (SFE) vous propose le regard de Guillaume Lemoine et Maxime Pauwels, respectivement ingénieur écologue et maître de conférences à l’Université de Lille, sur les pelouses calaminaires du Nord – Pas de Calais.
Les changements globaux en cours représentent généralement une menace pour la biodiversité. Nous nous attendons en effet à ce que les modifications de l’environnement associées aux activités humaines fragilisent les espèces végétales et animales et menacent leur survie à plus ou moins long terme. Cependant, les perturbations environnementales peuvent aussi favoriser l’installation locale de nouvelles espèces ou sous-espèces, voire être à l’origine d’assemblage d’espèces originaux et participer à l’enrichissement de la biodiversité. Ce qui mène à un troublant questionnement : Faut-il remédier à la perturbation, au risque de menacer la biodiversité nouvelle, ou protéger cette biodiversité, en maintenant la perturbation qui en est à l’origine ? Ce dilemme est particulièrement bien illustré par le cas des pelouses calaminaires de la région Nord – Pas-de-Calais (France) et de la province de Liège (Belgique).
Article édité par Anne Teyssèdre.
Et si Paris atteignait les 50°C ? Le Théâtre de l’Odéon anticipe cette éventualité en publiant une étude inédite sur…
Urbain, trop urbain explore les possibles de l’édition numérique sur la thématique des métamorphoses actuelles de la ville et du…
Patricia Johanson s'entretient avec Anne Thompson des fondements de sa pratique artistique et de son engagement dans le Land art,…